Découvrir la psychogénéalogie
Mis à jour : 17 nov. 2020

Une réflexion que j'ai développée au fil des années après mes expériences tant professionnelles
que personnelles et, je voudrais la partager.
J'ai remarqué que certains événements se reproduisaient au sein de ma famille comme dans d'autres.
Ces schémas qui se transmettent de générations en générations, parfois bien enfouis dans l'inconscient familial pouvaient se révéler être des fardeaux que l'on portaient empêchant parfois le processus d'évolution et de changement de chacun.
J'ai pu observer cela au fil du temps et des rencontres...Des secrets, des lourdeurs, des phénomènes de répétition d’événements. Des "mots " non exprimés devenant parfois des "maux", sans savoir pourquoi, sortant d'on ne sait où ?
Pur hasard diront certains ?
Probablement pas !
Ces questionnements , ces similitudes de situations devenaient de plus en plus clairs pour moi, et mon envie d'avancer et de comprendre m'ont amené à me diriger vers
des recherches sur ce sujet (ouvrages, vidéos ...).
Par la suite, j'ai approfondi le sujet par des formations. C'est à ce moment là que j'ai rencontré, seulement dans les livres, hélas, cette " pionnière de la psychogénéalogie", madame Anne Ancelin Schützenberger.
"Nous traînons des problèmes non résolus " dit -t-elle.
Anne Ancelin Schützenberger, est née le 29 mars 1919 à Moscou et décédée récemment le 29 mars 2018. Elle était psychologue également psychothérapeute et professeur à l'université de Nice Sophia Antipolis, où elle a dirigé pendant une vingtaine d'années le laboratoire de psychologie sociale et clinique. De par ses travaux de recherche sur les thérapies de l’arbre familial , elle a impulsé la psychogénéalogie . Elle a publié de nombreux ouvrages, en particulier « Aïe mes aïeux », (1993) où elle met en exergue le syndrome d’anniversaire, les répétitions transgénérationnelles, à l’aide de l’outil qu’elle a développé, le génosociogramme ou génogramme.